Home Page

On Line Library of the Church of Greece


Aristide Panotis

Les Pacificateurs

[ Le Pape Paul VI et le Patriarche Athenagoras I ]. Athenes 1974

Myriobiblos Home

NOTES

 

5. Jean, 13.14. 6. Matthieu, 26. 26,27. 7. Jean, 13. 34. 8. Romains, 13.10. 9. Jean, 14. 27. 10. Jean, 17. 21. 11. 1èreJean, 4. 8. 12. Hugues de Saint-Victor, Migne P.L. 176. 544. 13. 1èreCorinthiens, 13. 13. 14. Basile le Grand dit que l’Eglise est: «Une fraternité universelle», Migne P. G. 32, 562; Cf. aussi Am­philochios, 161, 1, in Migne P.G. 32, 629. 15. Migne P.G. 50, 489. Cf. ce qu’il dit aussi pour les «Anomi» anti-trinitaires, in P.G. 48, 707-708. 16. Hilarios Picta­vios, «De Tri­nitate», 11, 2, Migne P.L. 10, p.51. 17. Basilele Grand, 1er canon et Jean Chrysostome, Migne P.G. 61, 23. 18. Cf. Ba­­­­si­le le Grand, in Migne P.G. 32, 525, 528. 19. Les divergences les plus importantes du IIe au  XIe siècle sont : a) La diver­gence entre Victor de Rome et Polycrate d’Ephèse, pour la question de la concélébration de Pâques (l92); b) Le désaccord sur la rémission des péchés sous Callistos de Rome (220) ; c) La controverse dans la question du baptême des hérétiques sous Stéphane de Rome (256); d) La que­relle connue comme «les deux Dionysios», de Rome et  d’Ale­xan­drie, pour la phrase «le Fils fut toujours» (262) ; e) Le mécontentement pour les «droits d’an­cienneté d’hon­neur», que lui donna le IIe Concile Œcuménique avec ses 2eet 3ecanons (381);  f) La rupture des relations entre In­nocent de Rome et les pa­triarches d’Orient pourl’injuste exil de saint Jean Chrysostome (405-7); g) Le schisme cοnnu comme «Aka­kianon», entre Félix de Rome et Akakios de Cons­tantinople (484-519); h) Le diffé­rend entre Pélagios de Rome et Jean «Elei­mon», de Constantinople, sur l’emploi du titre de «patriarche oecuménique» (575-590); i) La condamnation des pa­triar­ches de Constantinople Serge, Pyr­rhos et Paul par Mar­tin Ier de Rome, pour leur Μοnο­thé­litisme (649);  j)La ten­sion pour les décisions contre les Latins des Ve-VIe Conciles Œcumé­ni­ques, entre Serge Ier de Rome et Paul de Cons­tan­ti­no­ple (69l-692); k) La tension à propos de l’Illyricon (731) et les conflits Icono­machiques de Rome et de Cons­tantinople en 726-787 et en 813-843; l) Le schisme du pape Nicolas et du patriarche Photios (863-879) et  m) La déposi­tion du patriarche Nicolas le Mys­tique par le pape Serge III pour le 4e mariage de l’Empereur. 20. Jacques, 2.8. 21. Voir Ar. Panotis, La Le­vée des Excommu­nications entre l’ancienne et la nouvelle Rome, Athènes l966, pp. 17-22. 22. Migne P.G. 120, c. 1012-22. 23. Voir Pavlοv, «Aperçu historique et littéraire de l’ancienne polé­mique gréco-rus­se contre les La­tins». Petersbourg, 1878. 24. Triste exemple, les insultes de deux seulement des théologiens opposés,  de  l’ortho­doxe Théodore (Théophane) A­gallianos, plus tard métropolite de Μédée (Voir son ouvrage «Dialogue d’un gardien des Archives Sacrées avec un moine contre les Latins» (1442) et du ca­tholique-romain Léοn Allatios (1587-1669). 25. Des en­tre­tiens pour l’unité ont eu lieu: a l’époque d’Alexis Comnè­ne et du pape Urbain II, avec le Concile de Bari, en 1098, et sous le pape Pascal II en 1111. De même, sous Jean II en 1135 et Manuel Ier et le pape Callistos III en 1170. Après la des­truction de l’Empire Byzantin par la IVe Croisade, des entretiens se sont déroulés sous le pape Inno­cent III, de 1202-1214, puis en 1215 au Concile de Latran. A Nicée également, sous Théodore Ier Lascaris en 1222, Jean Vatatzès en 1223, et Théodore II Las­caris, en 1254. Sous Michel VIII Paléologue et le pape Grégoire X au Concile de Lyon, en 1274. Ont aussi été vains les efforts d’Andronique III en 1333 et en 1339 à Avignon et de Jean V sous Urbain V, en  1362. Il y a enfin le Concile de Florence, qui se réunit en 1439 sous Jean VII Paléologue et le pape Eugène IV, et les pourparlers au palais de Xylalas, en 1445, sous Jean VIII Paléologue et ceux qui se sont déroulés au même palais en 1452 sous Constantin XI et le pape Nicolas V, en présence du cardinal Isidore de Kiev. 26. En fait, au début des travaux du Con­cile, tous y par­tici­paient avec la conviction qu’ils étaient mem­bres d’un vérita­ble Concile Œcuménique, avec la différence-com­me  l’a dit le métro­polite d’E­phèse Mar­cos Evgénicos au pape Eugène IV- «que, maintenant, le  Concile était constitué de deux parties adverses» (Voir Joseph Gill, Le Con­cile de Flo­rence, p. 148-149 de l’édition grecque, Athènes 1962). Ce sont les ma­ladresses commi­ses au cours des débats qui  provoquèrent les réactions. Il con­vient  de re­mar­quer que ceux qui étaient contre l’union, les «antiénotiki» alors qu’il a­vaient mis fin au dialogue avec Rome, sont les premiers  à avoir demandé le dia­logue œcuménique avec les hétérodoxes s’opposant à Rome et excommu­niés  par elle, comme, par exemple avec les Frères Bohémiens οu Hussites (Voir F. Μ. Bartos, «A delegate of the Hussite Church to Constantino­ple in 145l-1452»,in «Byzan­tinoslavica». 24 (l961) p. 287-292 ; 25 (1964) p. 69-74 et Dosithé­os de Jéru­salem, Τόμος Αγάπης, éd. de Jassy 1698, p. 320-325). Après Ia prise de Con­stantinople, le Patriarcat  Œcuménique poursuivit simplement la  tra­dition des adversaires de l’union dans son dialogue avec les hétérodoxes qui s’étaient dé­tachés de Rome. Ainsi Joasaf II, le Magnifique,correspond avec Mélanchthon en 1555-1565; Jérémie II Tranos, avec les théologiens de Tübin­gen en 1572-1579 et en 1580-1584; Kyrillos Loukaris, avec les Calvinistes en 1620-1623, en 1623-1635, 1637-1638; Mélétios Pigas, avec Mar­tin Crusio en l597-l598; Mitrophane Critopoulos, avec  les  Anglicans  en 1636-1639 et, en­fin, avec les An­­glais inassermentés 17l6-1725, etc. Ces rela­tions ont ouvert les premiers ho­rizons œcu­méniques et ont dοnné l’occasion d’un exposé sincère des con­cep­tions doctrinales de part et d’au­tre. 27. En dépit du climat créé par lapolé­mique, qui variait selon les lieux et les époques, les relations entre catholi­ques romains et orthodoxes n’ont jamais été définitivement rompues. Les deux E­gli­ses cro­yaient à leur profonde parenté et éprouvaient sans cesse un attrait. Les événe­ments significatifs de cette periode, du XVe au XVIIIe siècles, sont in­nom­­bra­bles (Voir Paul Grégoriou (Garau), «Relations entre catholiques et or­tho­doxes» Athènes, 1958, (en grec); Steven Runciman, «The Great Church in captivity», Cambridge (Un. Pr.), 1968, p.338). Malgré le sort qu’el­les ont eu, il convient de mentionner les relations entre le pape Grégoire XIII et le patriarche Jérémie II, de 1582 à 1584, au sujet de la correction du calen­drier julien, mais  aussi l’institution, par le pape Clément VIII, en 1599, d’une com­mission perma­nente pour l’étude de la doctrine des deux Eglises, sous Ia prési­dence du cardi­nal San­tori, ainsi que la correspondance entre le cardinal Bar­berini et le patriar­che Parthénios Ier en 1642, etc. Citons aussi deux exemples de véritable esprit œcu­ménique des pères duMont Athos, à cette époque. En 1628, le supérieur dumo­nastère de Vatopédion, Ignace, visita Rome et demanda à la «S.C. de Propa­gan­da Fidei» un religieux pouvant dispenser son enseignement aux moines. En effet Nicolas Rossi, diplomé du Collége de Saint-Athanase de Rome, se rendit au Mont Athos et ouvrit une école à Caryès, οù il enseigna pendant cinq ans (l635-l64l), jusqu’au moment où il sus­cita les soupçons des Turcs. Il transféra alors son écοle à Salonique. D’autre part, en l643 également, l’adminis­tra­tion  du  Mont Athos demanda au pape de lui céder à Rome une église, οù les moines de la Sainte Montagne pourraient pratiquer leur culte et faire des études. En contre-partie, elle offrit une cellule οu une «skiti» au Mont Athos, a l’inten­tion des moines basiliens d’Italie. Ces faits et d’autres encore ne confirment pas les «pieux my­thes historiques», que certains moines du Mont Athos répandent aujourd’hui (Voir Timothy Ware, Eustratios Argentis, «A Study of the Greek Church under Turkish Rule», Oxford, (Un. Pr.), 1964, p. 22-23). 28. Il est si­gni­ficatif que, après la chute de Constan­tinople, l’hostilité à l’égard de l’union, indépendammentde ses incidences sur l’évolution des affaires de l’Eglise, a été particulièrement appréciée par le Sultan Mehmet II et ses succes­seurs, qui y vo­yaient le facteur le plus positif pour décourager la libération des chrétiens d’O­rient par ceux d’Oc­cident. 29. La rigueur (ακρίβεια) est l’observation stricte et absοlue des dogmes et des coutumes. Cette rigueur, en tant que phénomène de la pensée théo­logique également, appa­raît dès le IIe siècle. Elle réapparaît dans les rapports de Rome avec l’Or­thodoxie sous la domination turque et elle at­teint son point culminant au XVIIIe siè­cle. (Voir: Wilhelm  de Vries: «Com­munica­tio  in sacris», in «The  Church  and E­cu­­menism», t. 4, New York, 1965, pp. 33 et ss,). Cette rigueur a commencé lorsque le patriarche Siméon Ier a pu­blié, en 1482, une ordon­nance canonique sur «le second chrême» des Latins. En 1595, le pape Clément VIII a déclaré nul le chrême des Orthodoxes. Les tristes événe­ments du Patriarcat d’Antioche et l’insti­tution, par le pape Benoît XIV, du Pa­triar­cat gréco-melchite d’Antioche, en l744, ont durci l’Orient et οn est ainsi arri­vés jusqu’au «nouveau Baptême» à l’époque du patriarche Kyrillos V (1748 -1751 et 1752-1757). Mais la conscience de l’Eglise a  condamné ces excès et l’his­toire relate avec affliction les incidents du moine Afxentios contre le patriarche Païsios II, «qui trai­tait de Papistes le patriarche et les évêques, les accusant, sans retenue ni honte, d’être des héréti­ques» (A. Komninos-Ypsi­lantis, «A­près la prise de Constantinople», Constantinople 1870 p. 368). 30. L’économie (οικοvομίa) est  l’expres­sion  de l’in­dul­gence et de la rémission, selon l’esprit de la liberté dans le Christ. Elle est appliquée en imitation de la Miséricorde Divine, qui pardonne «soixante-dix-sept fois» (Matthieu, 18, 20) et se refère à tout ce qui a trait à l’Eglise, pour le salut et le plus grand profit  de ses fidèles  (Voir: Hamilcas Alivizatos, L’Economie selon le Droit Canon de I’Egli­se orthodoxe, Athènes, l949). 31. L’Encyclique Ad Orienτalis du 6 janvier 1848. 32. Il s’agit de la «Réponse des patriar­ches orthodoxes d’Orient au pape Pie IXe de mai 1848, qui fut rédigée par Constance 1edu Sinaï et le théologien de Cor­fou Georges Marcoranos. Cette «Reponse» a été jugée par Pie IX, au Con­sistoire secret du 19.12.1853, «violente à l’égard du Siège Pontifical». 33. Μ. Landrieux, «UnLégat a Jérusalem auXIXe siècle: Le cardinal Langénieux», Paris, 1914, p. 9-10, et Claude Soetens, «Il y a 75 ans le Congrès eucharistique international de Jérusalem», in «Proche - Orient Chrétien», t. XVIII, 1968, vοl. 2-3, p. 97-121. 34. R. Aubert, «Le Saint-Siège et l’union des Eglises», Bruxelles, l947, p. 49, et D. Mavropoulos, «Pages Patriarcales», Athènes, l960, p. 30. Le professeur Β. Stavridès, dans son «His­toire de l’école théologique de Halki», Athènes, 1970, t. Ie, p.5l, considé­rant les décisions officielles du Saint-Synode, dit que le texte fut écrit par Germanos Caravanghélis, alors archimandrite et puis métropolite d’Amasia, qu’il fut amen­dé par les mé­tropolites Philothéos de Nicomédie et  Basile de Smyrne et qu’il fut publié ensuite par le Patriarcat Œcuménique. 35. S. Salaville, article «Leon XlII et l’Πrient», in «L’Union des Eglises» Nο 23 du 10 mars 1927, p.230-236. 36. Le texte futrédigé, sur I’ordre du patriarche Joachim III, par une Com­mission théologique présidée par Mgr. Photios, métropolite de Korytsa (Epire du Nord). Voir revue «Ecclisiastiki Alithia», Constantinople, 1903, XXIII), 4 avril, Vοl l4, p. 16l-164. Le patriarche Joachim III, en  témoignage de ses sen­timents pour un dialogue de bonne foi, reçoit, en 1904, en audience privée, Mgr. Marini venu de Rome. Cf. aussi Μ. J. Le Guillou, «L’Esprit de l’Orthodoxie grecque et russe», Paris, 1961, p. 113. 37. Lettre Apostolique de Pie X, Cx quo, 26.12.1910 et textes antérieurs adressés au cardinal Vannutelli 22.7.1907, etc. 38. Voir commentaire de U. Congar, dans son livre «Chrétiens désunis», Paris,  1937, p. 382. 39. «Encyclique Synodale de l’Eglise de Constantinople à toutes les Eglises du Christ», Constantinople, 1920. Voir aussi «A new translation of the 1920 message οf the Ecumenical Patriar­chate», in «The Ecumenical Review»,  Genève, 12 (1959-1960) pp.79-82. 40.  Plus tard métropolite de Thyatira. Voir Β. Stavridès, «L’œuvre inter-orthodoxe  et inter-chrétienne de Germanos Strinopoulos», Phanar.1959. 41.  Ephésiens, 3, 6. 42. «WCC.Minutes and Report  οf the Twelfth Meeting of the Central Committee», Rhodes, Greece, August 19-27, 1959, Genève, 1959, pp. 95-7. 43. Β. Stavridès, «Pensées d’unthéologien catholique sur les problèmes de l’Union», Phanar, p. 10. 44. Voir Procès-verbal et  Résolutions du Congrès, Constan­tinople, 1923,  pp.29,33. 45. Voir S.  Sala­ville, «Une heure avec S.B. Mgr. Photios II», revue «L’Unité de l’Eglise», 10.3.193l, pp. 417-18. 46. «Les Con­ver­sations de Malines», 192l-1925. Oxford University Press, Londres, Humphrey Milford, 1927, p.96. 47. Nous ne pré­sentons ici que les ouvrages fondamentaux sur le pape Jean XXIII: Jean XXIII, «Le journal de mon âme», Rome, 1964.«Souvenirs d’un nonce», Cahiers de France (1944-1953), Rome, 1963. Antonius Cairoli, O.F.M. «Romana Beatificationis et Canonicationτs  servi Dei Johannis XXIII Pa­pae»  (25.XI.188l - 3.VI.1963). «Articuli seu Positiones ad Processum Informativum constrendum, Romae MCMLXVII (1967) p. 210. «Johannes  XXIII. Leben und  Verke. Ei­ne Dokumentation in Text und Bild, herausgegeben vοn der Herder-Korrespondenz», 1964, p. 174. «Jean XXIII, Lettres à ma famille», éd. du Cerf. Paris, 1969, p.1008. Vittore Ugo Righi, «Papa Giovanni XXIII, sulle rive del Bosforo», Padova 1971. 48. Jean  XXIII, «Le journal...» p. 68, 192, 107. 49. Ibid. p. 114. Ange Roncalli entendit,pour la premiere fois, lorsqu’il etait séminariste à Bergamo, la liturgie byzantine d’un certain archimandrite Arsenio Pellegrini, du mo­nastère Grottaferrata. Et il doit son eveil à l’œcuménisme au  directeur  du  Séminaire  supérieur  romain, Mgr. Buga­rini, (… 1921), qui etait son professeur. 50. Philip. 1,18. 51. Jean XXIII, «Le journal...» p.165. 52. Ange Roncalli, en tant que visiteur apostolique en Bulgarie, rendit visite, le 26 juillet 1925, au metropolite Clemens de Vratza, qui prési­dait le Saint-Synode en raison de l’absence du primat des orthodoxes bulgares, Stéphanos. En septembre 1934, il lui rendit une nοuvelle visite. 53. Jean XXIII, «Le journal...» p.194. 54. Ibid. p. 203. 55. Message radiodiffusé de Sofia, Noel 1934. 56. Voir V.U.Righi, «Papa Giovanni XXIII], p.217-218. 57. Voir article dans la revue «Orthodoxia» du Patriarcat Œcuménique, 1937. 58. Aujourd’hui métropolite des Iles des Princes.  59. Revue «Orthodoxia», mai 1939, p. 158. 60.  Jean  XXIII, «Le journal...», p.242. La guerre greco-italienne de 1940 a mis le coeur de Roncalli dans une très  pénible épreuve. Il s’est efforcé de corriger les erreurs que d’autres avaient commises. Il arrive à Athènes, via Salo­ni­que, le 8 juillet 1941 et y reste jusqu’au 7 octobre, ayant des contacts avec les milieux pοlitiques et l’archevêque Damaskinos au sujet du ravitaillement de la Grèce. Il reçoit le mémoire du 8 septembre 1941, rédigé par les chefs des partis politiques et se rend à Rome οù il demande au pape Pie XII d’intervenir auprès des Alliés pour la levée du blocus. Il retourne à Athènes avec les résultats de ses démarches et y reste du 14 au 20 novembre 1941. En 1942, il visite deux fois la Grèce, du 7 au 27 mars et du 14 novembre au21 décembre. Depuis lors,  son secrétaire particulier Jacques Testa est resté à sa pla­ce, en Grèce. Le siège de ses activités, avant la guerre et durant l’occupation était à Athènes, 14 rue Homère. (Voir «Le Saint Siège et la Guerre Mondiale», Polyglotta Vaticana, vοl. V, pp. 211, 212, 213 et A. Martini «La fame in Grecia nel 1941 nella testimonianza dei documenti inediti vaticani», La Civiltà Cattolica, 1941, I, pp. 213-227). 6l. Jean,1,6. 62. Romains, 5,5. 63. Message de Noël 1958. 64. Luc, 1.76. 65. Parmi l’importante bibliographie sur le patriarche Athénagoras, nous citons: Basile Stavridès, «Donnés bibliographi­ques pour la rédaction d’une biographie du patriarche œcuménique Athenago­ras», revue «Theologia», Athènes, t. 40, 1969, pp. 167-180. Voir aussi Dém. Tsaco­nas, «Athénagoras», article dans l’Encyclopédie Religieuse et Morale; t. I, Athènes, 1962, cοl. 602-606, et «Athé­na­goras, der Patriarch spricht», préface du cardinal Franz Kœnig, Introduction Yves Congar, éd. Herold, Munich l965. «Athenagoras, Ecumenical Patriarch. Church Leader-Irenist-Conciliator», éd. Pour le 80e anniversaire de la revue «Orthodoxos Paratiritis», New York, 1966. Stélios Castanos de Médicis, «Athéna­goras, l’apport de l’orthodoxie a l’œ­cu­ménisme». Introduction biographique et recueil des messages patriacaux, Lau­sanne, 1968. Bernhard Ohse «Der Patriarch Athénago­ras vοn Konstantinopel. Ein ökumenicher Visionär», Gottingen, 1968. Virgil Gheorghiu, «La vie du patriarche Athénagoras», ed. Plοn, Paris 1969, 319 p. Olivier Clément, «Dialogues avec le patriarche Athénagoras», éd. Fayard, Paris, 1969, 588 p. 66. Revue «Informations Catholiques Internationales», Vο 328 du 15.1.69, p.19. 67. Dans un discours inédit, lors du sacre du métropolite Evangélos de Perga (30.ll.70), le métropolite Meliton a dit: «Ce Phanar est quelque chose de plus que le siège du chef de I’Orthodoxie en cette Ville. C’est une idée. Il symbolise la  capacité  de la vie de surpasser le désastre, la possibilité de survivre dans la coexistence. Le Phanar est l’art de tirer le meilleur parti possible des pires données. Le Phanar est l’expression de valeurs suprêmes. Il est patience. Il est silence. Il est noblesse. La noblesse des anciens. Ni narcissisme, ni stagnation. Gardien du trésor de notre foi immaculée et de la sainte tradition de l’Orient, revêtue des autres traditions de notre race, mais gardien vigilant et dynamique. II est la porte de l’Orient ouverte sur l’Occident. Il est le récepteur sensible des messages de l’Occident. Interprète des grands tour­nants de la vie du monde. Le Phanar est une école. Et le Phanariote, né de la nécessite d’un instant de l’histoire, devient lui aussi un concept qui traverse les siècles, et qui est «actuel» dans chacun des siècles en ce qui concerne ses prin­cipaux traits caractéristiques, car il est le représentant d’un grand héritage, qu’il n’ensevelit pas mais qu’il sauvegarde au contraire en le mettant en valeur au profit du plus grand nombre. Le Phanariote concilie la tradition et le progrès, en affrontant la réalité en face, quelle qu’elle soit». 68. Luc 11. 34. 69. Voir Jean Chrysostome, Migne P.G. 50. 486. 70. Ephésiens 2.14. 7l. Matthieu 12.25. 72. 1e Jean, 4.8. 73. Journal «Ethnicos Kirix» de New York, 25.2.193I. 74. La légende de la photographie relatait une phrase d’Athénagoras, alors archevêque d’Amérique, à  l’archevêque Cushing: «Nous entendons les mêmes choses et nous les exprimons différemment». 75. L’archevêque André Cassulo est arrive à Istan­bul le 13 juin 1947. 76. Jean 14. 26. 77. Matthieu 8. 29. 78. Actes, 1, 4. et 14. 79.La bibliographie Ia plus complète sur le pape Paul VI, de 1897 a 1966, a éte publiée par Nello Vian. Voir «Bio- bibliographie de Paul VI», dans le livre de Jean Guitton, «Dialogues avec Paul VI», éd. Fayard, Paris 1967, pp. 359 - 416. Voir  aussi Georges Huber, «Paul VI, es­­quisse biographique et psychologique», ed. Centurion, Paris 1963, 131 p. La bibliographie est aux pp.126-130 et Andrea Lazzarini, «Papst Paul VI. Sein Leben und Seine Gestalt», 1964, 158 p. J. Toulat, «Avec Paul VI en Terre Sainte». Préface de Christ. Dumont, éd. Fleurus, Paris, 1964, 104 p. G. Zananiri, «Paul VI et les temps présents», éd. Spes, Paris, 1966, 388. p. Voir la remarquable sélection de ses textes sur I’unité chrétienne, intitulée «Paul VI. Afin que le monde croie», par Roger Etchegarax, et Jacques Desseaux, éd. Centurion, Paris, 1970, 194 p. 80. Discours à la presse, 29.6.63. 81. Revue «Oggi» 4.7.63. 82. «Dialogues avec Paul VI», éd. Fayard, Paris 1967, pp. 24-25. 83. «Je ne savais pas alors qu’il devait donner au mot dialogue une valeur et un poids si signifcatifs». 84. «Ici aussi les moindres nuances ont leur poids et leur valeur». 85. Il s’agit des précurseurs de l’union, le cardinal Mercier et lord Halifax. 86. Lettre aux prélats d’Allemagne 11.1.61. 87. Sagesse de Sirach 50.13. 88. Marc 15.38. 89. Voir Encyclique Ecclesiam Suam, 6.8.64. 90. Matthieu, 20.28. 91. IIe Corinthiens, 5.17. 92. Apoc. 21.5. 93. Voir J.Arias, «Christ toujours nοu­veau», ed. Cerf, Paris, 1972. 94. 1ère Thessal., 5.21. 95. Voir Ecclesiam. suam. 96. Matthieu, 5.13. 97. Clementia, Lettre à Jacques XV. 98. Athanase le Grand, extrait du Codex Vaτicanus 392. 99. Allocution aux professeurs et aux élèves de l’école ecclésiastique de Vella,7.7.63. 100. Discours du 17.10.63, voir in «Documentation Catholique». 101. Allοcution aux Chrétiens de Bombay, le 2.12.64, in «Documentation Catholique» Nο 1439. 102. Discours du 18.1.67, «Documen­tation Catholique» Vο 1488. 103. Lors de l’audience genérale du 24.1.68, voir «Documentation Catholique» No 1512. 104. Galates, 5.13. 105. Jean Chrysostome, Mémoire sur l’Epître aux Galates, Migne P.G. 61. 670. 106. Luc,  24.29. 107. V.Laurent: Les «Memoiresa du Grand Ecclésiarque de l’Eglise de Constantinople S. Syropoulos sur le Concile de Florence» (1438-9). Paris C.N. R.S., 1971 pp. XXVIII-715. 108. Actes, 15.28. 109. Voir «Service d’infor­ma­tion» Secrétariat pour l’unité des chrétiens, No15 août 1971/III p.3. 110. Esaïe, 9.7. 111. Ezéch., 34.25. 112. Au­jourd’hui métropolite de Belgique. 113. Aujourd’hui métropolite d’Irénoupolis. 114. Revue «Orthodoxia», 1958, pp.506-508. 115. Ibibem. 116. En Grèce, le pape Jean avait beaucοup de relations et était fort bien connu: voir Jean XXIII «Le journal...», p. 4. Élie Venézis. «L’archevêque Damaskinos. Les années de servitude». Athènes, 1952, pp.95-96, 99 et Paul Grigoriou «Le pape Jean et la Grèce. Chronique de l’occupation», Athènes 1969. 117. Journal «L’Apôtre André», Nο 382. L’archevêque Jacques Testa a assumé ses fonctions après la mort du Mgr. A. Cassulo (1953 à 1959). 118. Revue «Orthodoxia», Tome 34, 1959, pp.112-113. 119. «Osservatore Romano», 26.1.58. 120. «Osservatore Romano» ll.8.59. 121. Voir article de N.Alivizatos in journal «Το Vima », Athènes 1.2.59. 122. Pourla première fois dans le cas du délégué apostolique Mgr. Andrea Cassulo (…1953). 123. Voir le texte de son allocution in «Osservatore Romano», 23.5.59. 124. Voir sa lettre du 23.6.59. 125. Decédé comme métropolite d’Allemagne (… 3.12.71). 126. Aujourd’hui métropolite de Myra. 127. Aujourd’hui métropolite de Calabre. 128. Journal «L’Apôtre André», 4.12.63. 129. Voir lettre du cardinal Spelmann du 8.12.66 au patriarche. 130. Télégramme du 27.1.60. 131. Voir «Doc. Cath.» No 1323 /6.3.60col. 30l et journal«Catholiki» d’Athènes 23.3.60. 132. Journal «Catholiki»22.6.60. 133. Voir texte in «Acta Apost. Sed.» 52, 1960, pp.433-437. 134. Voir «La Civilta Cattolica», traduction in «Catholiki» 13.6.60. 135.  Voir le  motu  proprio «Appropinuante Concilio» 6.8.62, la lettre apostolique au cardinal secrétaire de l’État du Vatican du 14.1.63 du pape Jean XXIII et le motu proprio «Finis Concilio» et l’ordonnance apostolique «Regimini Ecclesiae  Universae» du 15.8.67 du  pape Paul VI. 136. Voir card. Agostino Bea, «Il Segretariato per l’unione dei Cristiani», tirage à part de «La rivista del Clero italiano», A XLVI-N.II. Novembre 1965, Milano. 137. Aujourd’hui métropolite de Calabre. 138. Journal «Catholiki» 8.2.6l. 139. Aujourd’hui métropolite de Chalcedoine. 140. Journal «Catholiki» 19.7.81. 14l. Au cours du siècle dernier; plusieurs centaines de mémoires et d’articles de prélats orthodoxes, de mem­bres du clergé et de théologiens ont éte soumis à la Hiérarchie οu publiés dans des revues ecclésiastiques sur le sujet «Rénovation οu vieillissement de l’Église». Voir aussi l’article d’A.Panotis, «Vers le Synode», journal «Ethnos» 8.8.68. 142. Décédé comme ex-archevêque d’Athènes. 143. «La 1ère Conférence Panorthodoxe, Rhodes 24 sept.-1er oct. 1961, textes, procès-verbal». Par les soins de A. Panotis, le Phanar 1967, 67. p. 144. Ibid pp. 127, 131. 145. Voir Décisions de la Commission préparatoire, du Grand et Saint-Synode qui s’est réunie au centre patriarcal de Genève (l6 - 18 juillet 1971), § 6. 146. Voir journal «Apôtre André»v, 6.9.61, revue «Orthodoxia» t.37 (1962), pp.24-83. Voir également: métropolite Maximos de Sardes, «La Conférence Panorthodoxe de Rhodes», Phanar 1964, - archevêque Ba­sile  (Krivocheine), «La Conférence Panorthodoxe sur l’île de Rhodes», Paris 1962, - Jean Carmiris : «La Conférence Panorthodoxe de Rhodes», Athènes 1961. 147. Voir Pierre Duprey: «La Conférence Orthodoxe de Rhodes», revue «Lumière et Vie», t. X, Nο 55, 1961, pp. 131-144  et du même : «Les résultats de la Conférence Interorthodoxe de Rhodes», tirage à part de la revue «Proche-Orient Chrétien», 1961, p. 28. 148. Nous renverrons désormais aux textes qui ont été publiés dans l’ouvrage officiel  «Τόμος Αγάπης»  (Τ.A.).  Le premier chiffre est le Nο du document, suivi de la date de sa publication; ainsi: 6/6.12.61. 149. Τ.A. 7/21.12.61. 150. Le pape a rapporté aux Orthodoxes  d’aujourd’hui  la phrase qu’avait dite, dans un tout autre cas, saint Augustin, Enarrat, in  Ps. 32. 1129, Migne P.L. 36, 299. 151. Voir «Apôtre André», février 1962 et «Catholiki» 7.3.62. 152. Τ.A. 8/27.2.62. 153. Τ.A. 9/28.2.62. Description  d’une  visite  de Mgr.  Jean Willebrands  au Patriarcat Œcuménique, voir in «Apôtre André» 28.2.62. 154. Τ.A. 10/12.4.62. 155. 19 avril. 156. Τ.A. 12/18.4.62. 157. Voir également déclarations de N. Alivizatos: «Το Vima»16, 17.3.62. 158. «Catholiki» 25.4.62. Voir aussi déclarations de Mgr. Henan, alors archevêque de Liverpool. 159. Aujourd’hui cardinal. 160. «Ca- tholiki» 11.4.62. 161. Τ.A. 15/18.6.62. 162. Ibid. 163. «Apôtre André», 12.8.62. 164. Voir les lettres d’invitation, Τ.A. 17/3.7.62, 18/24.7.62, 19/24.8.62. l65.  Τ.A. 21/10.l0.62. 166. Τ.A. 22/10.10.62. 167. Aujourd’hui archevêque de Berlin et exarque de I’Europe centrale. 168. L’évêque Cassianos a assiste aux travaux du Concile au cours des trois périodes l962-64. 169. Du 11 oct. au 8 déc. 170. Τ.A. 23 /8.i2.62. 171. Le 14 avril. 172. Τ.A. 24/30.5.fi3. 173. Τ.A. 25/i.fi.63. l74. Voir communication Τ.A. 26/4.6.63 et documents 27/5.6.63,  28/7.6.63. 175. Le 14 juin. 176. Du 20 au 24 juin. 177. L’après-midi du mercredi 19 juin. 178. Matthieu XXI, 28-32.179. Τ.A. 29/ 25.6.63. 180. Le 30 juin 1963. 181. Le 17 juillet, voir aussi «Catholiki» 21.8.63. 182. Τ.A. 30/8.7.63. 183. Τ.A. 31/22.8.63. 184. Le 24 août 1963. 185. Voir le texte in «Catholiki» 20.11.63 et in «Insegnamenti di Paοlο VI», 1, p. 552-558. 186. Τ.A.32/9.9.63. 187. Le pape Gré­goire XIII a alors employé l’appellation «Au vénérable frère Jérémie, patriarche de Constantinople». Voir «Archivio segreto Vaticano», arm. XLIV, 25, FF, 342R-343R. 188. Lettre du 24.9.63. 189, Séance du 1.10.63. 190. Τ.A. 34/25.10. 63. 191. Aujourd’hui métropolite de Chalcédoine. 192. «Message  de la IIe Conférence Panorthodoxe», dans la presse quoti­dien­ne d’Athènes du 29.9.63. 193. Métropolite de Philadelphie Mgr. Iacovos (…1971): «La Conférence Panortho­do­xe de Rhodes», Phanar 1964,  pp. 19-20, [Pierr]E [Dupre]U:  «La  Conférence Panorthodoxe de Rhodes (26-29 sep­tembre 1963)», tirage à part de la revue «P.Ο. Chrétien», t.XIII, 1963, p.19, et archevêque Basile (Krivocheine): «La deuxième Conférence Panorthodoxe de Rhodes», dans la revue «Messager» Nο 45, janvier-mars 1964, p.65-75. 194. «Il pellegrinaggio di Paοlο VI in Terra Santa», Libreria editrice Vaticana, 1964, p.9-10, avec copie photostatique de ses no­tes. 195. «Oss. Romano» 5.12.62. 196. Voir «Apôtre André» 11.12.63. 197. Τélégr. 12.12.63. 198. Voir rapport sur la  Rencontre, 20.l.64, pp.4-5. 199. Τ.A. 40/24.12.63 et 42/27.12.63. 200. Voir «Apôtre André», 24.12.63. 201. Τ.A. 41/26.12.63. 202. Τ.A. 44/ 28.12.63.  203. Τ.A. 45-46/30.12.63. 204. Τ.A. 45/30.12.63. 205. Revue «Το Triphyllo», Jérusalem, No. 85-7, 1964, p. 7. 206. Marc  13. 207. Matth. 21, Marc 11, Luc 19, Jean 12. 208. Le 4 janvier 1964. 209. «Apôtre André», 22.1.64. 210. Voir rapport officiel du Patriarcat Œcuménique sous le titre: «La Rencontre à Jérusalem  de S.S. le patriarche œcumenique Athénagoras avec S.S. le pape de Rome Paul VI» (5 et 6 janvier 1964), Phanar, 1964,  Imprimerie Patriarcale, p.10. 211. Τ.A. 48/5.1.64 et in «Il pellegrinaggio»v, pp.87-90. 212. Le saint ca­lice porte l’inscription: PAULUS VI PΟNΤ. ΜAX. PEREGRINUS IN TERRA SANCTA + HUNG SACRIFICA­LEM CALICEM DONΟ DEDIT. AN. MCMLXIV. 213. Outre la médaille frappée par le Vatican, des particuliers en ont fait circuler une autre portant l’effigie des deux primats et l’inscription :  «PER CHRISTUM IN TERRAM SANCTAM PEREGRINANTES AΤHENAGORAS I - PAULUS VI - IN EPIPHANIA DOMINI A MCMLXIV - UT UNUM SINT» sur une face. Et sur l’autre, Le Christ des Rameaux et l’inscription : BENEDICTUS QUI VENIT  IN  NΟΜINE  DOMINI - HIEROSOLYMlS  V- Vl IANUARII MCMLXIV. 214. Τ.A. 49/6.1.64 et in «Il pellegrinagio»  pp. 107-109. 215.  L’«encolpion» porte l’inscription : AU TRES SAINT PAPE  DE ROME PAUL VI - LE PATRIARCHE DE CONSTANTINOPLE ATHÉNAGORAS - JERUSALEM - 6  JANVIER 1964. 216. Τ.A: 50/6.l.64 et in «Il pelle­grinaggio» p. 111. 217.  Τ.A. 51/6.1.64. 218. «Il pellegrinaggio» pp. 140-141. 219.  Voir P. Grigoriou:  «Chronique de la Rencontre du pape Paul VI et du patriarche œcuménique Athénagoras», Athènes 1964, p. 37. 220. Journal «Ethnos» 18.1.64. 221. Τ.A. 52/8.1.64. 222. Τ.A. 53/10.1.64. 223. Τ.A. 55/16.1.64. 224. Voir le texte in «Il pellegrinaggio», p. 199. 225. Allocution du 25.1.64,  voir le texte ibid.  pp. 215 - 214. 226. Parmi la bibliographie sur la Rencontre sacrée de Jérusalem, voir aussi: «Act. Ap. Sedis», LVI pp.158-162 et «Oss. Romano» 5.12.63,25.12.63,Τ.A. 30/31.12.63, 7/8.1.64, «Apôtre André», 11.12.63, 1.1.64, l5.1.64, 22.1.64, 29.1.64, 19.2.64, les revues «Proche-Orient Chrétien»,  Jerusalem, t.XIV, édition spéc. Nο I-II, janvier-juin 1964, p.149, «Néa Sion» 1963, pp.249-54, 260-263; «Irénikon» 1964, pp.85 et ss.- «Orthodoxos Paratiritis» t.30, No 527, février 1964 et revue «Informations Catholiques Interna­tionales» 15.1.61 p. 9. Voir aussi R. Cluny : «Le rendez-vous de Jérusalem», éd. Flammarion, Paris, 1964, V. Fabbretti : «Paοlο VI, pellegrino ecumenico», éd. Borla, Turin, 1964; Gér.Conidaris : «L’importance de la Rencontre du patriarche oecumenique et du pape de Rome» (janv. l964) dans  la revue «Relations Internationales» (en  grec) dec. 1964 - avril  1965, Vο 7, pp.71-5; Aristide Panotis: «La Rencontre sacrée», dans la revue «Orthodoxos Parousia» (en grec), t. I, Athènes, 1964;  pp.111-119, - Grégoire Vuccino, archevêque  d’Aprus: «Une Rencontre historique», dans la revue «Unitas», Paris, Nο  66, vοl. III-IV, pp.131-192 et le Dr. J. Tlil : «La chronique de la Rencontre historique des primats des Églises grecque-orthodoxe et catholique-romaine aux Lieux Saints», dans la revue «Το Triphyllo», de Jérusalem, 13e année, Nο 85-87/1964 en grec et en arabe pp.6-17, ete. 227.  Τ.A. 57/2.3.64. 228. Τ.A. 62/19.4.64. 229. Voir  description  de  ces  tristes événements et des réactions internationales dans la revue «Orthodoxos Parousia» 1964, pp. 120-128. 230. Τ.A. 61/18.4.64. 231. Τ.A. 65/ l9.5.64. 232. Voir Inform. Cath. Internat., 1.5.64  et  SŒPI 23.4.64. 233. Bulletin de presse du Patr. grec-melchite catholique No 11/3  pp. 31-38. 234. Τ.A. 66/20.6.64. 235. Τ.A. 67/ 27.6.64. 236. L’histoire du retour du Chef de  saint André a commencé  en  1963,  au  cours  d’une  rencontre  d’orthodoxes et de catholiques, à Athènes. Les propositions faites à Rome ont eu des résultats positifs. L’auteur de ces lignes indique au métropolite de Patras Mgr. Constantin le chemin qu’il devrait suivre dans sa démarche. Le texte est rédigé et envoyé. La réponse est affirmative. Vers la mi-mai, Mgr. Jean Willebrands vient à Patras pour des entretiens secrets avec le métropolite Constantin, qui écrit une lettre personnelle au pape Paul VI. Le pape répond affirmativement à la requete. Il veut cependant que le Chef soit restitué avec un nouveau reliquaire digne de son conte­nu, dont il ferait lui-même les frais, car l’ancien reliquaire, dans  lequel  Thomas  Paléologue  l’avait  remis  au pape Pie II en 1462, avait été remplacé par un nouveau et les traces de l’ancien avaient été perdues. Οn demande à Athènes des modèles de reliquaire de style orthodoxe, mais οn procède en meme temps à des recherches pour découvrir le reli­quaire d’origine. Οn le retrouve dans un musée du pays natal du pape Pie II. Le pape Paul VI décide de faire un double don à la cathédrale de Patras: à la fois du Chef et de l’ancien reliquaire. Οn le repare et οn y ajoute seulement un socle en lapis-lazuli portant l’inscription dans «un esprit de concorde et en signe de grand amour». Au cours d’une cérémonie qui se deroule en présence des observateurs orthodoxes, le pape enferme le relique sacrée dans ce reliquaire unique qu’il scelle. Le reliquaire est remis au métropolite de Patras, Mgr. Constantin, le 26 septembre 1964.  Sur le retour de la relique, voir: Pierre Duprey : Le retour à Patras du Chef de saint André, tirage a part de «Proche-Orient Chretien»v,  1955, p.14; revue  «Ecclesia», 15 oct. 1964, pp. 527-538; et Μ. Theocharis: Le transfert du Chef de saint André à  Rome,  journal «Kathimerini»,  d’Athènes, 1.7.65. 237. Τ.A. 68/27.6.64. 238. Τ.A. 71/3.7.64. 239. Τ.A. 72/8.9.64. 240. Τ.A. 73/10.9.64.241. Actuellement,  professeur de  Droit Canon à la faculté de  théologie de  l’Université  de Salonique. 242. Actuellement, professeur de Théologie Dogmatique à  la  faculté de  théologie de l’Université de Salonique. 243. Τ.A. 74/11.9.64. 244. Voir «Oss. Rom.»a 1.10.64; «Catholiki» 7.10.64 et «Proche-Orient Chrétien»; XIV, Nο IV, 1964, p.353. 245. Actuellement, professeur à la nouvelle école de théologie de saint Jean Damascène (monastère de Melemention) du Patriarcat d’Antioche. 246. Voir le texte in «Acta Apost. Sedis~» LVII (1965),  pp.90-112. 247. Ο. Clément : Le renouveau de l’Église, revue «Contacts», Nο 48, vοl.  4,  1964- C. J. Dumont : La troisième Conférence Panorthodoxe, revue «Vers l’Unité Chretienne», sept.-nοv. 1964; Paul Evdokimov, Elisabeth Behr-Sigel et V.Voloff: «Les Conféren­ces de Rhodes, Bilan et voeux», revue «Messager Orthodoxe», Nο 29-30, 1-11-1965, pp. 16-24 ; Jean Carmiris: Orthodoxie et Catholicisme Romain, t. II, Athènes, 1965,  pp 5-148 ; Archevêque Basile (Krivocheine): La troisième Conférence Panorthodoxe de Rhodes, revue «Messager de l’Exarchat du Patriarche Russe», Nο 5l, III, 1965,  pp 137- 161; Aristide Panotis : Chronique de la IIIe Conférence Panorthodoxe, tirage à part de la revue «Orthodoxos Parousia», t. 3-4,1964,  pp. 196-240,  Athènes, 1967 ; F. V.: La IIIe Conférence Panorthodoxe de Rhodes: tirage  à part de la revue : «Proche-Orient Chrétien», 1965. 248. Τ.A. 76/29.10.64. 249. Les rapporteurs en étaient les métropolites de Carthage, de Bruxelles et de Myra. 250. Rapporteur: le professeur P. Bratsiotis. 251. Τ.A. 77/5.11.64. 252. Voir le texte de la décision in revue «Orthodoxos Parousia», pp. 261-263, § 2-5. 253. Voir interprétation appro­fondie des décisions et analyse du terme «dialogue de charité», in «Orthodoxos Parousia» ibidem  pp. 305-307. 254. Τ.A. 78/19.11.64. 255. Voir le texte in vOrthodoxos Parousiam ibid. pp.163-166. 256. Τ.A. 84-85/2,5.1.65. Voir aussi 87/16.2.68. 257. Τ.A. 87, 88/16.2.65. 258. Τ.A. 86/25.1.65. 259. Τ.A. 89/23.2.55, 90/8.3.65 et 91/11.3. 65. 260. Τ.A. 93/3.4.65. Voir aussi Gianfrancesco Arrighi, «Unincontro fraterno nelle luce di Pasqua» in «Osservatore della Dome­nica» XXXIl Nο 16 (1613) l8.4.65. 261. Voir Τ.A. 94-96/4.4.65. 262. Τ.A. 92/31.3.65. 263. La visite à Sainte Sophie n’était pas prévue au programme. Le regretté cardinal en prit la décision  avec enthousiasme,  après avoir entendu le pè­re Duprey, qui lui transmit une suggestion de l’auteur, comme un désir des orthodoxes. La décision fut prise alors que nous naviguions vers Halki. Il y avait cependant un sérieux obstacle. L’église, en tant que musée, était fermée tous les lundis. La Délégation pontificale à Ankara fut avisée et la Direction des Antiquités accorda l’autorisa­tion spéciale pour l’entrée du cardinal et de sa suite, composée de catholiques et d’orthodoxes. C’est ainsi que put avoir lieu cet événe­ment important. 264.Voir journ. «Ethnos», d’Athènes, 6.4.65, et «La Croix», Paris, 9.4.65. 265. Voir rapport de la Com­mis­sion d’accueil du cardinnal Bea, 8.4.65, in Archives du Saint-Synode. 266. Τ.A. 102/ 13.6.65. 267. «Orthodo­xos  Pa­rousia», 5.6. p. 4. 268. Ibid. pp.7-32. 269. Ibid. pp. 204-2t commentaire du professeur V. Nissiotis in «Keni kti­sis», Athènes, juin 1965. 270. Τ.A. 102/13.6.65. 271. Τ.A.108/10.7.65. 272. Voir  journ. «Apοgevmatini» d’Istanbul, 19.7.65 et article de Mgr. Maccarrone, in «Oss. Romano» 12.12.65. 273. Τ.A.109/26.7.65. 274. Τ.A. 110/19.8.65. 275. Mémoire de Ia Commission pour l’étude de la levée des anathèmes (opinion de Mgr. Chrysostomos de Myra) Archives du Saint-Synode 6.11.65, pp. 20-29. 276. Τ.A. 111/ 25.8.65. 277. Τ.A. 113/11.9.65, 114/14.9.65. 278.  Τ.A. 116/23. 9.65. 279. Le 4 octobre 1965. 280. Τ.A. 119/18.10.65. 281. Τ.A. 121/16.11.65. 282. La sous-commission fut constituée des     mé­tro­­­polites: Méliton d’Hélioupolis, Maximos de Stavroupolis, Chrysostomos de Myra et des professeurs C. Photia­dès, Β. Stavridès. 283. Migne P.G. 120, lignes 808-812 D. 284. La Commission fut constituée des métropolites: Chryso­sto­mos de Neo-Césarée, Maximos de Laodicée, Maximos de Sardes, Méliton d’Hélioupolis, Hiéronymos de Rodo­po­lis, Chry­sostomos de Myra. 285. Voir «Orthodoxos Parousia» t.7-8, 1965, pp.291-292. 286. La rumeur sur le levée «du schis­me». 287. Τ.A. 121/16.11.65. 288. Τ.A. 120/12.11.65 et 126/2.12.65. 289. Τ.A. 122/22.11.65. 290. Τ.A. 123/ 22.11.65. 291. Τ.A. 124/23.11.65. 292. Journal «Apôtre André» 29.1.64. 293. Voir article de Mgr. Maccarrone in «Oss.  Romano» 12.12.65  p. 2. 294.  Journ. «Apogevmatini» d’Istanbul 24-26.11.65. 295. Revue «Stachys», Vienne, t. 1-2,1965, p. 44. 296. La cérémonie œcuménique comprenait le psaume 25, une prière du pape, trois passages de l’Ancien Testament, de l’epître aux Romains et  de  l’Évangile. Venaient ensuite une hymne anglicane, la récitation en commun du «Pater» et, enfin, le Magnificat. A la fin, des allocutions furent prononcées par le cardinal Bea et l’evêque anglican Mornam et, ensuite, le pape offrit aux observateurs une clochette avec les symboles des quatre Evangélistes. 297. Voir Aristide Panotis, «La levée des anathèmes entre l’Ancienne et la Nouvelle Rome», Athènes, 1966, p.87, οù figure aussi la bibliographie y relative, et Jean Carmiris, «Orthodoxie et Catholicisme», III, Athènes, 1966, pp.133-161. 298. Τ.A. 127/7.12.65. 299. Τ.A. 129/7.12. 65. 300. Τ.A.128/7.12.65. 301. Τ.A.130/7.12.65. 302. A. Armaos, «La signification de la levée  des anathèmes entre l’Ancienne et la Nouvelle Rome» journ. «Catholiki» 25.5.66; Paul Grigoriou, «Les em­bras­sades du Vatican et du Phanari», «Catholiki» 12, 19, 26.1.66 et 2, 9, 16.2.66; C. Callinicos, «La levée des anathè­mes», revue «Stachys» 1-2, 1965, pp. 42-55, etc. 303. Τ.A. 131/20.12.65. 304. Τ.A. 132/25.12.65. 305. Voir «Ortho­doxos Parousia» 1965, t.7-8, pp. 3-5. 306. Saint Basile au pape Damaso, Migne P.G. 32, 433. 307. Le métropolite Mé­liton a fait un séjour du 25 février au 3 mars à Moscou; du 3 au 7 mars; à Belgrade, du 7 au 11 mars a Bucarest; du 11 au 14 mars à Sofia; du 19 au 22 mars a Athènes; du 23 au 26 mars à Beyrouth; du 27 au 28 mars à Jérusalem et, le 30 mars, il est rentré à Athènes. 308. Interview du Métropolite Méliton au journ. «Messimvrini» d’Athènes 21.3.66. 309. Τ.A. 133/ 31.3.66. 310. Lettre du 16.3.66. 311. La lampe est l’oeuvre du graveur suisse Baussard, elle pese 1315 gr. d’or de 21,6 ca­rats, avec 15 gr. de platine. Elle porte des représentations de ceps et d’épis, qui aboutit en une croix ayant, en son cen­tre, un saphir de Birmanie de 8,74 carats. Le saphir, qui symbolise la sainte Vierge, est entouré de 12 brillants symboli­sant les 12 Apôtres. La lampe porte un sceau avec le monogramme du patriarche et l’in­scription : «À ΤΟI, JE CONFIE TOUS MES ESPOIRS, MÈRE DE DIEU: GARDE-NOUS SOUS ΤA PROTEC­TION. 3 AVRIL 1966». Cette oeavre d’art a été offerte au patriarche par le Dr. Michel Mallis de Vienne, Grand Référen­daire de la Grande Église du Christ. Voir la  description  de la consécration de la lampe dans la revue «Icones» Vο 548, 22 avril 1966 et in «Ortho­doxos Pa­rousia» 1965, t.7-8, pp. 343-345. 312. Τ.A. 133/ 31.3.66. 313. Τ.A.134-135/6-8 avril 1966 et message patriar­cal l966. 314. Revue «Stachys» 4-5 p.«Or. Cristiano» 1966, VI, 2, pp.79-84. 315. Eugène de Crète avait demandé la resti­tution du Chef de I’Apôtre Tite dès 1961, Voir «Inf. Cath. Inter.», 15.1.61, p. 19. 316. Voir numéro commémo­ratif de la reve de la Métropole de Crète «Apôtre Tite», 1966, p. 88. 317. Voir «Oss. Romano» 7.7.66 et «Proche-Orient Chrétien» 1966, pp.219-220. 318. Τ.A. 140/28.7.66. 319.  Le centre orthodoxe du Patriarcat Œcumé­nique a été fondé en l966 grâce, à l’origine, aux généreuses donations de chrétiens orthodoxes de Suisse. Il est situé dans un grand domaine de la  banlieue  de  Genève, Chambésy (son adresse est 37, Chemin de Cham­bé­sy, 1292 Cham­bésy, Genève, Suisse). Le Centre a pour objet de: a) Développer les contacts et la coopération entre les Églises ortho­doxes autocéphales. b) Cultiver la théologie et le culte orthodoxes au service de l’Église orthodoxe toute entière. c) Or­ganiser des congrés inter-orthodoxes et inter-ecclésiaux. d) Informer le public sur la vie et l’activité des Églises dans le monde, avec le bulletin  d’information  bi-mensuel «Episkepsis» (Visite)  paraissant depuis 1970 et e) Seconder, la tâ­che du futur Saint et Grand Synode de l’Église orthodoxe. C’est pourquoi le centre est le siège du Secretariat de la Com­mission Interorthodoxe chargée de préparer le Saint et Grand Synode de l’Église orthodoxe. A Chambésy, se sont reunis la IVe Conférence Panorthodoxe de juin 1968 et plusieurs congrès et commissions, tels que le Congrès pour la célébration commune de Pâques (mars 1970) et la Commission préparatoire du Grand Synode (juillet 1971). Le centre est dirigé par le métropolite Damaskinos (Papandréou) de Tranoupolis. 320. Voir numéro spécial de la revue «Grigorios Palamas» publié pour la commémoration des saints Cyrille et Méthode, 1966. 32l. Τ.A. 142/7-12-66. 322. Τ.A. l4l/ 7.12.66. 323. Τ.A. 143/10.12.66. 324. Le discours du métropolite Chrysostomos de Myra a été prοnοncé le 11.12.66et I’οn en trouve le texte complet in «Stachys» 1966 t.6-7 pp.14-21. 325. Lettre du cardinal Ottaviani, 18.10.66, Archives du Saint-Synode du Patriarcat Œcuménique. 326. Lettre du cardinal Spellman, 8.12.66, Archives  du  Saint-Synode. 327. Lettre du cardinal Suennens, 23.12.66, Archives du Saint-Synode. 328. Lettre du cardinal Co­lom­bo, 25.1.67, Ar­chives du Saint-Synode. 329. Τ.A.146/22.2.67. 330. C’est Ia quatrième rencontre de l’archevêque Iacovos avec un pape.Lapremière, avec le pape Jean XXIII, a eu lieu le 17 mars 1959 et les autres avec le pape Paul VI le 21.10.65 et le 7.12.65. 331. Voir journal «Figaro», Paris 17.3.67. 332.  Τ.A. 148/18.3.67. 333. Τ.A.151/11.4.67. 334. Message de Pâ­ques du patriarche, 1967; Voir le texte in «Stachys» 8-9, 1967, pp.7-9. 335. «The Church Messager», 15.5.67. 336.  Voir bulletin du Secrétariat pour l’Unité, «Service d’Information», 1967, 2, pp.3-5 et «Irenikon», 1967/2  pp. 264-269. 337. Ibid. pp. 5-13. Voir aussi lettre Τ.A. 159/2.4.67  et 161/14.4.67. 338.  Voir textes in «Τόμος Αγάπης» 147/28.2.67, 150/7.4.67, 156/23.5.67, 157/24.5.67, 158/28.5.67. 339. Voir revue de l’Église de Grèce «Ecclisia», 1967 pp. 418-54. 340. Ibid. pp. 435-437 et Paul VI; «Afin que le monde croie», éd. Centurion, Paris, 1970, pp. 39-42, 120. 341. 160/ 7.6.67, 162/20.6.67, 164/22.6.67. 342. Revue «Stachys» 8-9/1967, pp. 136-138; voir Τ.A. 167/28.8.67 et 169/ 29.6.67. 343. Τ.A. 170/4.7.67; voir revue «Stachys» 1968, 10-11, p. 108. 344. «Il Viaggio di Paοlο VI a Istanbul», Vaticano, 1967, pp. 1140, p. 9. 345. Τ.A. 171/13.7.67. 346. «Il Viaggio du Paοlο VI a Istanbul», pp.12-16. 347. Ibid. pp.18-19. 348. Ibid. pp.17 et 22. 349. Ibid. pp.20. 350. Voir numéro spécial de «Taxis» du Phanar, 25 juillet 1967, p. 4 et «Il Viag­gio...] du Vatican pp. 49-54 et 64-65. Voir aussi «Τόμος Αγάπης» annexe 2, pp.630-637. 351 Texte intégral des discours du pape Paul VI et du patriarche Athénagoras in «Τόμος Αγάπης» pp. 372-383 et textes Nos 172/25.7.67, 173/25.7.67. Voir aussi reproduction de l’allocution du patriarche entre les  pp. 378 et 379, «Il Viaggio...» pp.54-63 et «Stachys» t.10-11, pp. 21-26. 352. Pour l’étole, voir Georges Sotiriou, «Reliques du Patriarcat Œcuménique, Église patriarcale et Sacristie», Athènes l937. p. 45. 353. Le texte intégral de la dédicace de l’étole est le suivant: «En souvenir de cette visite bénie de Votre Sainteté a notre Église, veuillez accepter, notre Frère en Christ, cette étole sacrée; pour manifester que nous tenons en commun, des Apôtres, le trésor du Sacerdoce et que nous espérons en commun dans la charité et en priant, pour préparer notre communion à la table du Seigneur. Athénagoras de Constantinople». Voir aussi photographie de la dédicace in «Τόμος Αγάπης», entre les pp. 384 et 385. 354. Cette icone, ainsi que tous les pré­sents des papes au patriarche Athénagoras sont conservés dans une vitrine spéciale de la Sacristie du Patriarcat Œcuménique. 355. Voir texte Τ.A. 175/25.7.67. 356. Voir fascicule spécial «Céremonie de prière dans la cathédrale  du  Saint-Esprit,  en présence du pape Paul VI et du patriarche Athénagoras, le mardi 25 juillet l967», p.28, et «Τόμος Αγάπης» pp. 638-643 et «ll Viaggio» pp.74-7, 83. 357. Voir texte in «Τόμος Αγάπης» pp. 386-393, et Τ.A. 176/ 25.7.61. 358. Voir texte in «Il Viaggio» pp.105-6. 359. Ibid. p.119. 360. Télegr. 27.7.67. 361. Procès-verbal du Saint-Synode, séance du 26.7.67. Parmi les articles sur la Rencontre secrète du Phanar,v. [Pierr] C.[Dupre] U., «Paul VI rend visite à Athéna­go­ras», tirage à part de la revue «Proche-Orient Chrétien», 1968,  pp. 249-268.  362. Τ.A. 178/8.8.67 et «Il Viaggio», pp.130-131; voir aussi p. l29. 363. Lettre in Τ.A. 180/23.8.67. 364. Τ.A. 179/14.8.67. 365. Τ.A. 181/6.9.67 et 182/ 13.9.67. 366. Τ.A. 183/25.9.67 et l84/27.9.67. 367. Τ.A. 185/29.9.67 et 187/9.10.67. 368. La communi­cation  a éte faite le 29.9.67. 369.  Τ.A. l86/6.l0.67. 370. «Oss. Romano» 11.10.67. 37l.  Voir fascicule spécial sur la celébration, en deux éditions, une officielle en français (grand format.) sous le titre «La visite de Sa Sainteté le patriar­che œcuménique A­thé­nagoras à Sa Sainteté le pape Paul VI», 62 p., avec de très belles gravures, et une, en italien, (de petit format) avec des tetrachromies 60 p. Voir aussi in «Τόμος Αγάπης», annexe 4, pp. 644-671. 372. Voir Jean 13,1-15. 373. Voir texte inte­gral des discours du pape Paul VI et du patriarche Athénagoras in «Τόμος Αγάπης» pp. 410-435, textes Nos 189/ 26.10.67 et 190/26.10.67, ainsi que in [Pierr]C. [Dupre]U: «Athénagoras rend visite à Paul VI», ti­ra­ge à part de «Pro­che-Orient Chrétien», 1968, 24 οù l’οn trouve aussi tous les autres textes. 374. Τ.A.192-193/ 26.10. 67. 375. Le médail­le, frappée par le Patriarcat Œcuménique, en souvenir de la visite historique du patriarche Athénagoras à Rome, a sur une face la Pentecôte, d’après un dessin de Rallis Copsidis et l’inscription: ΟΤE ΤΟΥ ΠΥPΟΣ TAΣ ΓΛΩΣΣΑΣ ΔΙΕ­ΝΕΙΜΕΝ ΕΙΣ ΕΝΟΤΗΤΑ ΠAΝΤAΣ EKAΛΕΣΕΝ (Lorsqu’Il a reparti les langues de feu Il nous a tous invités a l’unité). Sur l’autre face, il y a deux crosses pastorales croisées, une orthodoxe et une latine, unies dans le fond par une croix paléochrétienne, qui porte à sa base l’inscription: «Accolade à Rome». II y a aussi une inscription circulaire: A PAUL VI PAPE DE ROME - ATHÉNAGORAS PATRIARCHE DE CONSTANTINOPLE 1967. 376. Τ.A. 194/28.10.67. 377. Voir le communiqué conjoint  in «Τόμος Αγάπης» texte Vο 195/28.10.67; voir aussi la «Chro­nique de la visite du patriarche œcuménique Athénagoras au pape de Rome PaulVI» (26-28 octobre 1967), qui a été en­voyée avec une lettre patriarcale à toutes les Églises Orthodoxes. Revue «Eccclisia» ibid. pp.676-685. 378. Voir Ia des­cription de ce dejeuner ofiiciel faite par S.S. le patriarche, dans la première partie de cet ouvrage. 379. Τ.A. 196  197/30.10.67. Voir aussi V. Gamboso, «L’abbraccio tra la Chiesa d’Oriente e d’Occidente», éd. Messaggero, Padova 1968, 221 p., illustré. Voir également Athénagoras,  archevêque de  Thyatira, «Le pélerinage du patriarche en Occident», article paru dans la  revue «Orthodox Herald», 1967, Nο 33-34, pp. 2 et suiv.; A. Panotis «Les chefs de l’Église avancent», article dans le journ. «Ethnos» d’Athènes, 1.11.69. Voir aussi trad. en français Proche-Orient Chrétien «P.O.C.» 1967, IV,  pp. 335-9. 380. Τ.A. 198/20.11.67 et 199/24.11.67.  381. Τ.A.200/7.12.67 et 20l/9:l2.67. 382. Τ.A.203/25.l2.67 et 208/ 12.1.68. 383. Τ.A. 202/9.12.67, 2β4/ 28.12.67, 205/30.12.τ7, 206/1.1.68, 207/5.1.68. 384. Τ.A. 211/ 23.1.68. 385. Τ.A. 212/13.3.68. 386. Τ.A.li3/l9.3.68. 387. À Pâques 1968, de chaleureuses lettres pascales sont échangées. 388. Voir texte in «Stachys» t. 12-13/1968 pp.7-9. 389. Τ.A. 218/30.5.68 et 219/I2.6.68. 390. Voir le procès-verbal de la IVe Conféren­ce Panorthodoxe, polycopié sous le titre: «Commission Inter-orthodoxe, réunie à Genève au  centre orthodoxe du Pa­tri­ar­cat Œcuménique, 8-15 juillet 1968. Procès-verbaux - textes. Patriarcat Œcuménique 1968 124 p. et article de Pierre Duprey in «P.O.C.» t.1968 Nos II-III, pp.167-184. 39l. Τ.A. 227/21.8.68. 392. Voir textes Τ.A. Nos 233/16.11.68, 234/ l6.11.68,  239/16.l2.68. Au  sujet  du  regretté cardinal Bea, voir C.Μ. Jung-Inglessis «Augustin Bea; Kardinal des  Ein­heit», Paulus-Verlag, Recklinghausen 1962, éd. en français de St.Paul, Paris 1963. Β. Leeming, «Agostino cardinale Bea», University of  Notre-Dame Press l964, éd. Kerle-Verlag, Heidelberg. Voir aussi Paοlο Bessa de Almeida, S.J., «Un eminente figura del Concilio», revue «Stu­dio», Nο 44, année X, 23.5.66. Grigorios Novak, «Bea Augustin» in En­­cy­clopédie Religieuse et Morale, Athènes 1966, Tome 9, colonnes 161-163 et Constantin Β. Callinicos, «Augustin cardinal Bea», tirage à part de la revue «Grigorios Palamas» de Salonique, 1969. 27 pp., οù l’οn trouve également la bibliographie alors disponible. Voir aussi l’oraison  funèbre pro­­noncée par Mgr.Villebrands in «Service d’Information», janvier 1969/1, Nο 6, pp.1-3. Les textes publiés par le car­dinal Bea sur l’œcuménisme de 1962-1968 sont les suivants: «L’unione dei cristiani» Rome 1962; «Unity in free­dom», New York-Londres 1964; «Il cammino all’ unione dopo il Concilio», Brescia l966; «La Chiesa e l’uma­nita», Brescia 1967 ; «Von Christus erfasst», Meitingen-Freising, 1966; «La parola di Dio et l’umanita», Assise 1967; «L’ecu­me­nis­mo nel Concilio», Milan 1968. Ces oeuvres ont eté publiées en plusieurs langues et par diverses maisons d’edi­tion. 393. Τ.A. 235/26.11l.68, 238/14.12.68. 394. Τ.A. 223/25.7.68, 224/25.7.68, 231/25.10.68, 232/27.10.68. 396. Τ.A. 236/6.12.68, 237/10.12.68. 396. Τ.A.242/25.12.68 et 240/ 23.12.68. 397. Τ.A.243/7.1.69, 244/10.1.69. 398. Τ.A. 245/19.1.69. 399. Voir l’allocution dumétropolite de Chalcé­doine au S.S. le patriarche œcuménique Athénagoras à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de son partiarcat in «Stachys» 1968 t.14-15, pp.20-23. 400. Τ.A. 246/ 24.1.69. 40l. Voir «La fête commune de Pâques de la  chrétienté, le IIe Symposium œcuménique», Athènes, 11juin 1969, éd. de la Fon­da­tion Européenne Dragan 112 p., où figure aussi la bibliographie y relative; et  revue «Kléronomia» 1969 t. I, fasc. b. pp. 417-418 et  pp. 423-424; et «Pour une commune célébration de la fête de Pâques», in revue «P.O.C.» 1969 t. XIX fasc. II-III. pp. 234-239, et. fasc. IV pp. 354-358. 402. Τ.A. 250/22.4.69, 252/6.5.69, 251/26.4.69. 403. Τ.A.254/12.6.69. 404. Τ.A.255/21.6.69. 405. Τ.A. 263/29.7.69  et  264/ 12.8.69. 406.  Τ.A. 267/13.10.89 et 269/17.10.69. 407. Τ.A. 270/ 25.10.69. 408. Τ.A. 272/2.11.69. 408. Voir «Visite officielle du cardinal Willebrands à Istanbul», in bulletin «Ser­vice d’Inform.», 1970/1, Vο 9, pp. 14-16, et article in «P.O.C.», XIX, 1969, fasc. IV, pp. 359-364 et textes Τ.A. Nos 271/ 31.10.69, 273/21.11.69, 274/30.11.69, 275/30.11.69, 276/1.12.69. 410. Pour le quatrième anniversaire de la levée des a­na­thèmes, voir Τ.A. 277/7.12.69  du pa­triar­che et 279/ 22.12.69  du pape. Pour Noël, voir les lettres du  patriarche 25.12.69 et du pape Τ.A. 282/13.1.70. 411. L’actuel métro­po­lite Damaskinos de Tra­noupolis. Pour cette visite, voir «En­voyé spécial du patriarche Athénagoras chez le pape Paul Vie», article in «P.O. C.», XX, 1970, fasc. II, pp. 212-211. 412. Sur la conférence pour la célébration commune de Pâ­ques, tenue à Chambésy du 16 au 19 mars 1970, voir «Pour une commune célération de la fête de Pâques», article in «P.O.C.» XX; 1970, fasc. II pp.157-162. οù figurent aussi les publications de la presse grecque principalement. 413. Sur la maladie, voir revue «Stachys» 1970, numero spécial 18, 395 pp. 414.  Lettre du cardinal Willebrands 13.10.70. 415. Sur le voyage du pape Paul VI en Australie, voir Peter Manning, «The Pope, what his visit means», article dans la revue «The Bulletin», de Sidney, 2.12.70, pp. 29-36, et sur sa rencontre avec l’archevêque d’Australie Jézékiel, dans le jour­nal «Héraut Panhellénique», de Sidney, 2.12.70. 416. Le texte français a paru dans le «Serv. d’Informations» No 13, février 1971, pp.16-18. 417. Voir Τ.A. 283, 8.2.71. 418. Voir bulletin «Episkepsis» No 28 (Genève). Un compte-rendu en a également été publié dans le «Serv. Inform». No15, août 1971 III, pp. 3-4. 419. Voir «Ο.R.» 10.7.71 en français. 420. Voir «Service d’Inform.» No15, aοût 1971, III, p.11. 421. Ibid pp.15-18. 422. Voir «Serv. Inform.» No 16, janvier 1972/1, p. 6. 423. En voici le texte complet pa­ru dans le bulletin «Episkepsis» No 46, 18 janvier 1972,  pp. 2-3. 424.  Voir bulletin: «Serv. d’Inform». No 16, Jan­vier 1972 p.p.7-11 et «Episkepsis» No 47,1-2-72 et «Oss. Rom.» No 20 (33900), 26-1-72 et éd. française, No 4 (1154) 28-1-72 et No 5 (1155), 4-2-72. 425. Le texte complet du message se trou­ve aux archives personnelles de l’au­teur. 426. Voir «Service Information». 427. Voir «Τόμος Αγάπης», p. 614. 428. Voir revue «Stachys», No 27, 1972, où se trou­vent également tous les textes se rapportant à l’intronisation. 429. Voir journal «Catholiki» d’Athènes, du 5 sep­tembre 1972, No 1782, p. 4. 430. Voir revue «Unité des Chrétiens» No 8, d’oc­tobre 1972. 431. Voir «Oss. Rom.», CXII, No 271, 23 novembre 1972. 432. Voir journal «Catholiki» d’Athènes du 21 nοv. 1972.

 

Start page | Next page (Images)

 

MYRIOBIBLOS HOME  |  TOP OF PAGE